Territoire : Auvergne-Rhône–Alpes


« Il n’y a pas d’idéal plus noble que celui d’une société où le travail sera souverain. » Cette phrase, gravée sur le monument à la mémoire de Jean Jaurès élevé derrière la mairie de Saint-Étienne, appartient au passé – celui de la ville et celui de Gilles Favier, originaire de la région. Le photographe plonge dans ce qu’il reste du monde ouvrier stéphanois pour décrypter en images cet univers si singulier fait de pauvreté, parfois même de misère, mais aussi de rêve et d’humanité. Gilles Favier revendique dans ce reportage sa fonction de photographe documentaire, de témoin, d’analyste et de complice et affirme la nécessité d’une forme non spectaculaire pour rendre compte du monde.

Cyril Abad
Gilles Favier

Né en France en 1955. Vit à Sète. En 1980, Gilles Favier abandonne ses études de mathématiques et passe un CAP photo. Depuis les années 1980, parallèlement à son implication dans l’information et la presse quotidienne, dont Libération, Gilles Favier développe ses projets personnels, en lien avec son engagement, sa volonté d’analyser, de questionner le monde contemporain. Il est cofondateur du festival Images singulières de Sète et membre de l’agence Vu’.
 

 

 

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Making-of 

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Making-of n°1. 
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Making-of n°2. 
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Making-of n°3. 
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Making-of n°4. 
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Making-of n°5. 
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Making-of n°9.