MAIN CAMILLE, 21 ans.
« Quand j’étais en foyer, j’écoutais beaucoup de musique. L’art parvenait à m’apaiser et à me guérir. Il opérait sur moi comme des mains guérisseuses. Je me suis donc servie des miennes pour me réparer. Je les ai utilisées au service de l’écriture et du dessin. »
Anaïs Oudart
Anaïs Oudart
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